Le 15 février 2025, une journée où les peuples continuent leur lutte contre l’oppression, la domination et les structures étatiques autoritaires. Un monde qui résiste et refuse de se soumettre.
La Résistance à Gaza :une oppression continue
Gaza, une résistance à l’oppression systémique imposée par des forces coloniales. Ce qui se passe là-bas n’est qu’une continuation de la domination étatique, des violences infligées aux peuples désarmés, et d’un système qui veut faire taire toute volonté de liberté. Les peuples palestiniens ne sont pas des « combattants » dans un conflit, mais des résistants à un régime d’apartheid imposé par un État colonial qui écrase toutes les formes de vie sur son passage.
Gaza , en réponse à cette oppression, mène une lutte pour la survie, mais c’est la solidarité internationale qui devrait être au cœur de notre action, et non l’instrumentalisation de ces luttes par des forces de pouvoir. Au lieu de cela, les puissances impérialistes, alliées à l’État israélien, cherchent à maintenir l’ordre en écrasant les résistants. Dans cette situation, il n’y a pas de « solution de paix » comme nous l’entendons généralement, car tout traité ou cessez-le-feu ne ferait que prolonger la domination capitaliste et étatique. La véritable paix réside dans la déconstruction de l’État et dans l’instauration de communautés solidaires et autogérées.
La France : Un État répressif, une population révoltée
En France, comme partout ailleurs, l’État continue de resserrer son emprise sur les vies des individus. Les grèves dans les transports et les manifestations populaires sont des réponses directes à cette oppression. Les travailleurs et les travailleuses luttent contre un système qui cherche à leur voler leur liberté et leurs droits. L’État et ses réformes répressives sont des instruments de domination, et il est plus qu’évident que les compromis ne feront qu’entraîner la population plus profondément dans la servitude.
Pour ceux qui croient encore à une « réforme » ou à une « amélioration » dans ce système, il est temps de comprendre que seule la destruction de cet ordre mondial injuste nous offrira la possibilité de reconstruire une société juste et équitable. Les grèves, les blocages, et surtout l’action directe doivent être nos armes contre cet État oppresseur.
La Corruption des Élites : Un système pourri jusqu’à la racine
Les révélations sur Sarkozy et son implication avec Kadhafi ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres de la nature corrompue de la classe dirigeante. Que ce soit en France ou ailleurs, les élites restent solidaires dans leur soif de pouvoir et d’argent. Ces affaires ne sont que la surface d’un système qui repose sur l’exploitation et la soumission des masses.
C’est cette même classe qui impose des lois d’austérité, qui détruit les droits sociaux, et qui mène des guerres au service de grandes entreprises. Il ne faut pas se leurrer : l’État n’est pas une structure qui peut être réformée, mais une institution qu’il faut détruire pour pouvoir construire une société réellement libre.
L’Art comme Vérité et Résistance
Même dans ce monde de chaos, l’art continue d’être une forme de résistance. Les événements autour du Palais Garnier, bien qu’un reflet du patrimoine, sont aussi un espace pour exprimer des idées subversives. L’art n’est pas qu’une forme d’évasion, c’est une arme puissante contre l’oppression, une manière de montrer que l’on refuse d’accepter ce monde comme il est. À travers la culture, les idées se propagent, se transmettent, et la révolution se construit.
Conclusion : La seule voie, c’est la révolte
La journée du 15 février 2025 nous rappelle que l’oppression est systémique et mondiale. Là où les puissants tentent d’imposer leur contrôle, les peuples résistent. Mais cette résistance ne doit pas se limiter à la lutte contre des symptômes d’un mal plus profond. Elle doit viser la destruction totale de l’État, du capitalisme et de toutes les formes de domination. L’anarchie, loin d’être un idéal lointain, est la seule voie vers une véritable liberté. C’est dans l’action directe, la solidarité, et la révolte que nous trouverons la force de renverser l’ordre établi et de construire un monde sans maîtres, sans esclaves.
